Survol du Niger, à l'approche de Niamey

Contre toute attente, j’ai appris à mon arrivée à Paris que nous devions transiter par l'aéroport de Niamey, au Niger. Pas besoin de descendre de l’avion, mais ce petit détour ajoute quelques heures à ce long voyage. Je n’aurais peut-être pas fait de cas de cette situation, mais je dois avouer que j’ai été vraiment étonné à l’approche de cette ville.

D’une part, la couleur. J’ai déjà survolé des déserts de sable, mais ici c’est un désert de terre que j’entrevois. Très peu de végétation en effet, peu d’habitations également avant d’apercevoir la ville et le fleuve. Autre nouveauté, c’est la quantité de panneaux solaires dans les zones industrielles, mais aussi à proximité de quartiers habités. Ils brillent de mille feux dans cette fin d’après-midi (il était 16 h quand on a atterri).


Pourquoi, me dis-je, n’y a-t-il pas plus de panneaux en effet installés dans ces zones ensoleillés ? Le coût, probablement… à enquêter, puisque je n’ai pas accès à l’Internet au moment d’écrire ces lignes.

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